Let a woman be a woman and a men be a men [Terminé}

par **Charlie Thompson** Dim 20 Déc - 21:25

Une demoiselle de plus à son palmarès! Charlie avait été en boîte la veille et s'était présenté comme journaliste à une jeune femme qui avait vraiment besoin d'une interview. Elle en voulait une, elle qui travaillait dans le domaine du stylisme. Sauf que Charlie, lui, travaillait en tant que journaliste musical... Disons qu'il a omit ce détail (a) L'homme lui avait payé des verres d'alcool, des cocktails et tout ce qu'elle voulait durant toutes la soirée et, l'un dans l'autre, ils ont finit la soirée à l'hôtel. Une partie de sexe en échange d'un interview dans le magasine ARM. Pas de problème! xD Il serait parti avant qu'elle ne s'en rende compte x)

Après être sorti de la boîte, il ont attendu taxi devant la boîte, un peu éméchés, et se sont sauté dessus dans le taxi pour continuer la part numéro un (et final) de leur "marché". Une nuit torride s'en suivit entre Charlie Thompson et Anne Douglas. Il n'avait pas entendu parler d'elle et elle, n'avait certainement pas entendu parler de lui non plus, sinon, elle ne se serrait pas faite avoir (a)

Une fois que ce qu'il voulait est fini, le soleil filtrait à travers la fenêtre et Charlie reçu un message de la baby sitter, dernière en date de Jaycee, pour lui dire qu'il pouvait venir chercher sa gamine quand il le voulait. Sans aucune hésitation et lançant un dernier regard à Anne qui était encore nue et allongée dans le lit qu'ils avaient partagé une partie de la nuit, Charlie se lève et commence à enfiler son boxer et son jean pour pouvoir s'échapper de l'hôtel en douce~

par Anne Douglas Dim 20 Déc - 23:10

Alors que certaines filles s’arrachent les cheveux pour obtenir les plus belles chaussures de chez Gucci, il y a Anne. Anne qui est devenue une accro du travail, s’était fixé comme objectif de s’avancer dans sa carrière. Et pourquoi pas obtenir une interview pour un journal, au moins elle serait beaucoup plus reconnue. Ainsi elle s’était dirigé dans une soirée où elle fit la connaissance d’un journaliste, bingo. Les boites sont de bonnes façons de faire des rencontres intéressantes. Peu importe son nom, qui il était, elle voulait juste obtenir cet entretien avec lui. Elle eut l’air d’une blonde à rire à chaque remarque drôle, histoire de flatter son égo. Le coup du verre renversé, une main dans les cheveux, le jeune homme s’est vite pris dans leur jeu de séduction. Quelques verres et ils se sont immédiatement mis à l’aise. Taxi et tout ce qui s’en suit. Faut dire ce qu’il est, ils ont simplement couché ensemble. Il n’y a rien de sentimental là-dedans, c’est purement sexuel.

Le matin se lève, Anne n’ouvre pas immédiatement les yeux. Tout de suite elle se rend compte qu’elle a passé une soirée assez mouvementé. Elle est nue sous les draps, elle ne sait plus tellement ce qu’ils se sont dis. Sa main cherche l’homme qui est censé être à ses côtés. Elle tente aussi de se rappeler son nom, mais ses sourcils de froncent quand elle constate que le lit est vide. Alors elle ouvre enfin les yeux et le voit prêt à filer.

« Et tu comptes aller où comme ça? »

Demande t’elle froidement. Elle se lève vers lui, le draps qui lui cache un bout de ses seins. Il s’apelle Charlie, maintenant elle se souvient. Ils se sont retrouvés à l’hôtel, histoire d’être à l’abris des regards indiscrets. Il avait quelque chose à cacher peut-être. Si il avait une copine, Anne n’en avait rien à faire. Dommage pour elle, elle serait cocue.

par **Charlie Thompson** Dim 20 Déc - 23:39

Charlie tente de faire le moins de bruit possible. Il se met d'abord juste assis sur le bord du lit pour enfiler son boxer puis, il se lève et enfile son jean une fois qu'il l'a trouvé! Ils ont vraiment jouer les gros sauvages en maque de sexe la veille et leurs fringues étaient dispersé un peu partout dans la pièce. D'ailleurs, il arrive à attacher sa ceinture qu'il a retrouvé rapidement, pour ce qui est de son t shirt, il n'a absolument aucune idée de où il est passer...

Alors qu'il se tourne vers le lit, pour essayer de repérer son t shirt, mais il ne voit que la jeune femme qui vient d'ouvrir les yeux et de se mettre debout, le drap autour d'elle qui ne la cache pas entièrement. Il ne se gêne pas pour regarder son corps relativement bien foutu. Alors qu'il la regarde dans les yeux à nouveau, elle lui demande où il compte aller. Fuck! Burn -_-
Lui qui pensait qu'il allait pouvoir s'en aller sans avoir à rendre de compte...Voilà que maintenant, il doit s'expliquer. Il regarde la jeune femme dans les yeux, cherchant ses mots avant de s'approcher d'elle.

« J'comptais y aller. »

Avoue t il, sans être le moins du monde déranger de l'avouer.
Tout ce qu'il voulait s'était s'en aller de l'hôtel pour retrouver sa fille chez lui. Point final.

par Anne Douglas Mar 22 Déc - 1:07

C’était le bruit de sa braguette qui l’avait trahi, pris en flagrant délit. Ce n’est pas très classe de sa part. Surtout que Monsieur comptait y aller, dit-il sans envergure. Non mais elle ne rêve pas, il annonce ça comme si de rien était. Anne est vraiment furieuse, journaliste à la con. Très élégant, vraiment. Il allait filer en douce et la laisser en plan. Anne se lève d’un bond du lit, la main toujours sur le drap. Elle fronce déjà ses sourcils, prête à répliquer. Charlie mon gars, t’es mal barré.

« Tu te fou de ma gueule? Pauvre mec. »

Fallait pas être stupide pour comprendre ses intentions, il a juste voulu coucher avec elle. Anne s’empresse alors de chercher ses vêtements, qui sont éparpillés dans toute la pièce. Fuck off. Qu’est ce qu’elle regrette maintenant d’avoir suivit sa putain de pulsion. Au final cette histoire ne lui avait rien rapporter, ce blondinet s’est bien payer de sa tête. Ils ont passé du bon temps, et ça n’allait pas aller plus loin. Bien qu’Anne ne s’attendait pas à s’impliquer dans une relation avec lui, il aurait put être un peu plus classe. Elle marmonne des injures en enfilant sa petite culotte. Pas le temps de mettre son soutien gorge, elle met juste sa robe.

« You’re an asshole. »

Souffle t’elle finalement , avant de lui foutre une gifle en pleine tronche. Un grand claquement, bruit sonore. Il l’avait pas volé, celle-là. Ce qu’il ne sait pas encore, c’est qu’il le regrettera. Quand on est rancunière comme elle, mieux ne vaut pas jouer trop longtemps à ce jeu.

par **Charlie Thompson** Mar 22 Déc - 1:27

Maintenant que Anne était réveillée, elle n'avait vraiment pas l'air d'humeur joueuse. Contrairement à hier, la jeune femme est devenue une vraie furie qui avait l'air de vouloir lui pourrir la vie pour lui montrer qu'il ne faut pas utiliser les femmes comme objet sexuel. Elle avait pourtant bien voulu coucher avec lui dans le but seul et unique de décrocher une interview! Elle n'était pas mieux que lui. Ses sourcils sont froncés avant qu'elle ne le traite de « pauvre mec ».
Charlie n'esquisse pas de sourire débile du genre près à lui dire « merci ». Il n'était pas un pauvre mec. Il lui avait donné du plaisir, juste qu'il ne lui donnerait pas ce qu'elle avait voulu en échange. Oups~

Il la regarde en train de s'affairer à la recherche de ses vêtements tandis qu'elle marmonne des insultes à tout bout de champ. Pas très classy dans la bouche d'une vraie femme. L'irlandais reconnut immédiatement l'accent anglais. Voilà pourquoi ils n'étaient pas fait pour s'entendre! Que pouvait bien foutre une anglaise avec un irlandais, je vous le demande?
Elle enfile sa robe avant de le traiter de trou du cul et de lui mettre une claque en pleine figure. Le bruit résonne un peu dans la pièce mais Charlie ne se laisse pas faire. Il attrape ses poignets tandis qu'elle gesticule.

« Eh Barbie! Tu vaux pas mieux que moi! Coucher pour réussir, tu trouves ça cool? Stupid English Girl... »

Ajoute t il en lui lâchant les poignets dans un mouvement brusque, la faisant reculer.

« J'vais te l'avoir ton entretien. Tu l'auras ton interview. Mais pas maintenant. J'suis pressé, Ok? »

par Anne Douglas Jeu 24 Déc - 2:38

Elle est belle, la nation irlandaise. Charlie n'a aucune idée de qui elle était, peut-être qu'elle a joué sa garce avec lui mais lui ne valait pas mieux. Et puis Anne n'a pas eut à lui mettre le couteau sous la gorge pour qu'ils puissent conclure ce marché. Mais à présent Anne sait pertinemment qu'ils annulaient tout. Il y a à peine dix minutes Charlie allait fuir de leur nuit et il prétend encore qu'il allait l'interviewé. Salades, ouais. Revenons à leur affrontement.

« F-U-C-K O-F-F, okay? Lâches-moi! Putain lâches moi! »

S’enerve t’elle en essayant de se débattre. La force d’un homme n’est pas égale à celle d’une femme, malheureusement. Et quand il la relâches, elle fais un bond d’un pas en arrière. Anne se redresse, fièrement comme si de rien était. Elle cherche alors son sac à main, elle avait envie de partir de cette foutue chambre. Une fois le sac au bras, elle met ses talons hauts. Puis avant de partir, elle s’approche de lui pose sa main sur ses cheveux. La rouquine a une sourire aux lèvres, qui ne perdurent pas. Insulter sa nation, mauvaise erreur.

« Tu ne disais pas ça quand on étais au lit! »

God save the queen, bitch. Elle lui fout alors un coup de talons en plein genoux. Peut-être qu’elle n’a pas la force mais elle a les bonnes chaussures. Fidèlement, elle lui tourne les talons et ouvre la porte… du moins elle essaie. Et merde elle s’ouvre pas. Anne s’énerve tape contre la porte, et se retourne finalement vers Charlie.

« Putain, t’as fais quoi? »

La voilà bloquée avec lui dans cette chambre. Elle réessaie encore d’ouvrir la porte mais rien à faire, elle est vraiment coincée ici… Avec lui!

par **Charlie Thompson** Dim 27 Déc - 23:20

Bon, ils étaient au moins d'accord sur une chose: ils ne valaient pas mieux l'un que l'autre! Lui parce qu'il lui avait menti et avait voulu partir avant qu'elle ne se réveille et elle parce qu'elle avait couché avec lui pour avoir cet entretien. C'est beau le monde du travail! C'est beau d'entrer dans la vie active! Afin que la jeune femme arrête de le traiter de tout les noms et de le frapper, il lui balance que de toute façon, il va lui donner son interview, essayant de la retenir par les poignées pour qu'elle se calme. Mais elle n'en fait rien, lui disant de la lâcher et d'aller se faire foutre avec son accent toujours aussi « English way~ ».

A peine a t il le temps de se remettre de la claque qu'elle vient de lui mettre que Charlie voit l'anglaise se rapprocher de lui pour passer une main dans ses cheveux blond et lui mettre un coup de talon dans les genoux. C'est un Charlie Thompson grimaçant et jurant comme une anglaise (a) qui se met assis sur le lit subitement pour pouvoir masser sa jambe endolorie. Il ne la regarde même pas quand elle essaye d'ouvrir la porte tant il est concentré sur sa jambe. Une bosse? Un bleu? Qui dit mieux?

D'ailleurs, même quand elle se met à s'exciter et s'énerver contre la porte, Charlie ne lui adresse pas la moindre attention. Il décide de ne pas lui répondre. Après tout, il ne lui devait rien, puisque même en lui ayant promis qu'il lui donnerait une interview, elle ne le croyait pas. Pourquoi lui parlerait il? Elle se met même à l'engueuler parce que, apparemment, la porte ne veut pas s'ouvrir. Lui ne s'en fout pas de rester ici, mais qu'elle s'énerve contre lui au sujet de tout, il en a vraiment rien à battre (a). Prenant son téléphone portable, il envoie alors un message à son amie pour lui dire qu'il serait en retard pour Jaycee. Puis, se levant en boitant, n'adressant toujours pas l'ombre d'un regard à Anne, il tente à son tour d'ouvrir cette fichue porte qui le séparait du monde extérieur, mais surtout de son rôle de père et il n'aimait pas ça.

par Anne Douglas Mar 29 Déc - 21:51

Ce mec est un abruti fini, il n’y a pas d’autres mots pour le définir. Et ce qui agace le plus Anne, est de le voir aussi indifférent. Il ne réagit pas, même quand elle lui flanque son coup de talon dans le talon. En même temps elle ne devrait pas s’en plaindre. La force d’un homme n’est pas égale à celle de la femme, c’est bien connu. La bravoure d’Anne a été peut-être un peu trop loin cette fois-ci mais elle est si impulsive qu’elle ne peut s’empêcher de contrôler sa colère. Elle aurait voulue s’échapper de cette chambre d’hôtel illico presto, elle n’aurait jamais prévu que l’inattendu allait frapper à leur porte. Fuck all. Elle a beau taper du poing, s’exciter sur la serrure mais rien à faire.

« Bloody Hell... Putain de porte… C’est de ta faute ! »

Continue-t-elle d’enchérir à l’adresse de Charlie. Allez savoir pourquoi elle le blâme lui et pas un autre. Il était le seul qui se trouve dans la pièce, donc il fallait bien que quelqu’un prenne. Et puis, il l’avait énervé à vouloir la fuir comme un adolescent. C’était vraiment lâche de sa part, elle a donc bien ses raisons de le détester et de l’injurier de tout les noms. Puis au bout de quelques minutes, elle s’arrête subitement et s’assoit sur le lit. Il n’y avait pas de téléphone dans cette foutue chambre. Elle cherche alors son téléphone portable dans son sac à main. Mais son attention se reporte à nouveau vers Charlie lorsqu’elle le voit essayer d’ouvrir la porte et que lui ne parvient pas non plus à l’ouvrir, elle ne peut qu’éclater d’un rire sonore. Quelque peu moqueuse de cette scène vraiment ridicule.

« Laisse, je m’occupe de ça. »

Réplique-t-elle froidement. Elle prend alors son téléphone en main, et compose le numéro de son assistant. Il devait être au bureau à cette heure-ci mais elle sait qu’elle pouvait l’appeler à n’importe quel moment de la journée et pour n’importe quelle raison. De toute façon elle était la manager, et pouvait se permettre de demander tout ce qu’elle voulait. Petite fille hautaine, qui est devenue une « work-alcoholic ». Pause cigarette, la nicotine remplace la caféine. Clope entre les lèvres, elle branche alors le kit main libre. Ça sonne…

« Allô ? Joan ? Nope ? Jonh, yes. Bon j’ai besoin qu’un serrurier passe immédiatement à l’hôtel sur la 15ème avenue à Sydney. Yes… Exactement. Hum.. ? Yes. Yes… WHAT ? 30 minutes ? Are you fucking kidding ? Je n’ai pas le temps! Ecoute si dans les 15 minutes qui suivent je ne suis pas sortie de ce foutu hotel tu auras affaire à moi right! »

Et hop. Elle raccroche, pas de temps à perdre. Anne se dirige vers le miroir, essaie de se recoiffer et d’être un minimum présentable. Un peu plus de mascara, du rouge sur ses lèvres… Une fois qu’elle serait sortie de ce trou, elle devra retourner au travail. Anne pose alors un regard vers Charlie, à travers le reflet.

« C’est quoi cette tête ? T’es pas content tu peux toujours te jeter par la fenêtre. »

par **Charlie Thompson** Ven 1 Jan - 23:43

Même si Charlie ne montre pas qu'il souffre suite au coup de pied de Anne, il n'en pense pas moins! Cette femme est une furie! English Bitch... D'ailleurs, cela lui fait un grand bien de voir à quel point elle est énervée après cette porte qui ne veut pas s'ouvrir. A l'intérieur, il jubile~ Elle ne cesse de taper ses petits poings contre la porte qui ne cède pas le moins du monde et elle accuse même Charlie d'être derrière tout ça. Comme si il n'avait que ça à faire! Il avait sa fille à voir! Il ne voulait pas rester coincé toute la journée avec Mlle la bêcheuse qui n'arrêtait pas de le blâmer pour un rien et de le frapper. Déjà par deux fois elle l'avait latter!! ><

Afin de lui montrer qu'elle n'a pas l'avantage avec lui, Charlie fait comme si il n'avait pas entendu ses accusassions et décide de tester la porte à son tour. Une femme n'était pas tellement douée alors, elle pouvait très bien avoir fait une boulette qui avait bloquer la porte cette saleté d'anglaise. Il était en train de se demander pourquoi il avait couché avec elle... Certes elle avait un beau petit corps, mais s'était une anglaise. Et lui un irlandais. Si ses pulsions sexuelles ne lui avaient pas demandé de mentir à la jeune femme quand à son interview, il ne serait sans doute pas là en train de galérer pour trouver une solution à ce putain de problème de porte! Pourquoi les hôtels avaient ils eut la brillante idée de poser des portes à carte à puce? S'était idiot comme système! La preuve...

Évitant de commenter le rire que la jeune femme a à son attention quand il n'arrive pas non plus à ouvrir la porte, il la regarde s'asseoir sur le lit et sortir son téléphone portable. Valait elle le coup qu'il soit bloqué dans cette chambre avec elle?... Il n'écoute même pas le dialogue qu'elle a avec la personne qui est à l'autre bout du fil quand elle décroche son téléphone pour appeler quelqu'un. Tout ce qu'il entend, c'est qu'une grosse demi heure sera apparemment nécessaire pour les sortir de là... Mais Anne, en tant que femme jamais contente, réclame un quart d'heure. Il était donc si insupportable? (a)

Sa clope entre les lèvres, elle avait hurlé sur son assistant et Charlie secoue négativement la tête. Cette femme était vraiment une garce... Il ne la regarde pas se maquiller et se contente de se mettre dans un coin pour se fumer une clope, laissant un soupir s'extirper de ses lèvres en pensant que sa fille va l'attendre... Mais il n'a pas le temps de savourer le silence de son souffle qui recrache la fumée que Anne reprend la parole pour lui dire que si il n'était pas content il pouvait se jeter du haut de la fenêtre. Charlie se contente d'allumer sa clope et lui largue un sourire du genre « j'en ai rien à foutre de ce que tu me dis » avant de lui répondre.

« Ça fera surement des vacances au type que t'as eu au téléphone si tu te jetais la première... »

par Anne Douglas Dim 3 Jan - 19:42

C’est le comble, qu’est-ce qu’il pouvait bien savoir d’elle pour infirmer quoique ce soit. Le travail, c’est sacré. Aussi elle sait bien qu’elle a fait une erreur en couchant avec lui. En quelque sorte elle venait de mélanger le travail et sa vie intime, pourtant ce n’était pas chose coutume chez elle. C’est ce qui arrive quand l’ambition nous monte à la tête. Pour sûr, Anne a bien appris la leçon.

« Oh yeah, fuck you asshole. Je sais très bien ce que je fais. Tu ne me connais même pas, t’es très mal placé pour me juger. Okay ? Et je pense que si je t’aurais laissé faire les choses on sera encore là jusqu’au soir. »

Réplique-t-elle sur un ton féroce. Levant les yeux au ciel, elle hausse les épaules et continue de se maquiller. Petite poupée anglaise, piégée avec lui. Au moins elle assume qu’elle n’est pas forcément a good girl, elle assume le fait qu’elle voulait coucher avec juste pour avoir cette interview. Mais le coup qu’il allait lui faire était vraiment pas classe, partir à la douce. Ce coup-là lui reste bien en travers la gorge, elle est furieuse. Le fait de penser qu’elle ait put coucher avec lui la dégoute.

Charlie et son accent irlandais insulte la brave langue anglaise, ce genre d’accent horrible de province. On entendrait presque la cornemuse chanter dans les montagnes, une petite danse de lutin derrière un chaudron rempli de pièce d’or. En le regardant de plus près il est vrai que Charlie avait ce pas gauche des irlandais.

Un peu de rouge sur ses lèvres, elle est prête à sortir de ce gouffre. Malheureusement pour s’échapper elle va devoir attendre un bon moment, en plus de ça en sa compagnie. Elle ne sait pas si elle arriverait à tenir bien longtemps sans pouvoir lui lancer une remarque désobligeante. C’est plus fort qu’elle…

« Fuck. Fuck. Fuck. Pourquoi j’ai couché avec toi… mais qu’est-ce qui m’a pris ?! »

par **Charlie Thompson** Dim 3 Jan - 20:36

Quand il entend la jeune femme hurler toute seule, Charlie ne peut s'empêcher de sourire. Qu'elle s'énerve toute seule! Il en a rien à foutre xD Il a toujours trouvé les femmes en colère adorable (a) Il espérait que l'anglaise n'était pas en train de le regarder a travers son miroir pendant qu'elle se remaquillait, sinon elle lui balancerait encore des remarques comme quoi si il se foutait de sa gueule elle allait le pourrir mais il ne peut s'en empêcher. D'ailleurs, il détourne les yeux avant de pousser un soupir.

Il ne regrettait pas d'avoir couché avec elle comme il ne regrettait pas d'être enfermer avec elle là maintenant, sauf pour le fait que cela lui faisait perdre du temps avec sa fille... A peine a t elle finit de se maquiller qu'elle se remet à gueuler sur lui! Charlie cette fois ne peut pas contenir un nouveau rire en entendant ça. Le blond s'approche d'elle, mais pas trop, histoire de ne pas prendre un nouveau coup de pied x)

« Je peux te rappeler la raison si tu veux x) »

Lui dit il, appuyant exagérément sur son accent irlandais pour l'agacer d'avantage, avant de rire à nouveau et de s'allumer une clope une fois qu'il a trouver sa chemise et qu'il l'enfile. Si il n'avait pas fait le con, il aurait peut être même pu se la refaire ce matin (a)

par Anne Douglas Dim 3 Jan - 23:48

«Qu’est ce qui te fait rire, imbécile ? »

S’exclame-t-elle en finissant de recoiffer brièvement une de ses mèches rouge. Puis elle le voit s’approcher d’elle, son air niais l’agace par dessus tout. Charlie est le genre d’homme qui lui aurait plut, au premier abord. Juste physiquement, well. Maintenant qu’elle apprenait à le connaître, elle ne voit vraiment pas ce qu’ils auraient en point en commun. Mise à part leur penchant sexuel, bien entendu.

Non, elle n’avait pas besoin qu’il lui rappelle pour quelle raison elle avait couché avec ce type. Elle avait fait une erreur, pas besoin de le mentionner à haute voix. Son attitude à faire l’homme indifférent, OH GOSH, ça l’énerve encore plus. Mais le pire c’est que Charlie joue avec son accent irlandais, c’était la goutte qui faisait déborder le vase.

Alors elle tente à ne pas penser à une cloche dans la montagne, un trèfle à quatre feuilles… Charlie n’a même pas le temps d’enfiler entièrement sa chemise qu’Anne se jette littéralement sur lui, tenant fermement son cou. Elle le plaque violemment contre le mur, like fierce. Elle sourit, mais c'est nerveux.

« Joue pas au con avec moi … ! »

Pourquoi pas l’étrangler sur place ? Anne s’arrête net, elle entend derrière la porte une voix. Elle pose immédiatement son doigt sur la bouche de Charlie, comme pour le faire taire. Non, elle n’avait pas rêvé. Il s’agissait d’un maitre d’hôtel qui venait d’apprendre qu’ils étaient coincés dans la chambre. Il leurs demandait si tout allait bien et leurs informait qu’un serrurier spécialiste aller débarquer d’ici une demi heure au plus tard. Anne relâche Charlie et se précipite vers la voix en tapant du poing sur la porte.

« Bien que sûr que tout va bien, on est coincé à l’intérieur espèce de crétin ! What the fuck is this hotel? Je peux vous dire que mon avocat va en entendre parler! Putain ! »

Hurle-t-elle comme une furie. Elle s’écroule sur le seuil de la porte, épuisée de s’énerver autant. Son père est avocat, il aurait très bien put les poursuivre et mener à bien l’affaire. Seulement Anne n’allait pas du tout lui en parler, elle comptait juste les menacer pour qu’il se bouge un peu plus. Pour sûr, le client est roi.

par **Charlie Thompson** Lun 4 Jan - 2:13

« C'toi qui m'fait rire.
Franchement tu t'es vu quand t'hurles comme une furie comme ça? xD »

Avoue t il, sans gêne alors qu'elle se recoiffait. Lui, il s'approche d'elle calmement, souriant juste pour énerver d'avantage la rouquine x) Ca le fait marrer de la voir s'exciter comme ça pour un rien. What a bitch! Il a trop envie de lui dire des choses tout aussi désagréable les unes que les autres juste dans le seul but de l'emmerder x)

Alors qu'il est en train de mettre sa chemise, il se fait soudainement plaquer contre un des murs de l'hôtel par la frêle Anne qui l'agrippe au cou. Elle a juste le temps de lui balancer de ne pas jouer au con avec elle, sauf que... C'est un peu déjà fait x) Elle finit par le lâcher quand elle entend un bruit derrière la porte et se met à hurler comme une furie une fois qu'elle a poser son doigt sur les lèvres du blond pour le faire taire, lui qui ne disait rien...

Elle se précipite sur la porte et se met à tambouriner dessus à nouveau en hurlant. Quelle folle... Charlie vient alors se mettre près d'elle à nouveau, comme si il cherchait la merde un peu xDD Mais il décide de venir l'agacer d'avantage.

« T'es carrément sexy en colère x)
Je comprends que tes employés obéissent au doigt et à l'œil. »

par Anne Douglas Lun 4 Jan - 20:39

« Shut up, ! »

Si son but était de la rendre complètement dingue, il avait atteint son objectif. Il a bien franchit la limite, elle avait vraiment envie de l’étrangler sur le place, Charlie joue trop au malin avec elle. Irlandais qui se croit tout permis, Anne ne le supporte pas. Et le pire, la cerise sur le gâteau, c’est qu’il trouvait plutôt la situation drôle. Il rit, et Anne s’agite dans tous les coins de la pièce pour finalement atterrir sur la moquette. Elle est épuisée de s’énerver, mais c’est ainsi qu’elle finira certainement d’avoir ce qu’elle veut.

Quant à Charlie ? C’est tout autre chose. Ce garçon n’en fait qu’à sa tête, il cherche la petite bête. Il semblerait qu’il n’ait pas peur de recevoir un autre coup de pied dans les jambes. Peut-être qu’il a besoin d’un rappel à l’ordre. Il s’approche d’elle, Anne sait déjà que c’est une erreur de sa part. Well, si il veut jouer, that’s fine.

« SO, BOY. Si tu comprends pourquoi on m’obéit, pourquoi toi tu n’obéis pas ? Pourquoi tu ne fermes pas ta putain de bouche d’irlandais? »

Réplique-t-elle dans un faux sourire. Il se foutait de sa gueule, ouvertement. A l’évidence il n’avait pas encore compris qu’on ne joue pas au con avec elle. Son rire c’est vraiment de trop, elle prend alors son visage entre ses mains et lui serre les deux joues. Il avait l’air complètement stupide xD

« Ecoute Thompson, si tu me cherches tu vas me trouver ! Cette fois je viserais beaucoup mieux mon coup de talon. Understand ? »

par **Charlie Thompson** Lun 4 Jan - 23:47

Charlie voulait tout simplement fermer sa grande gueule à cette pimbêche qui se croyait tout permis avec tout le monde. Et l'agacer avec des mots était la meilleure solution qu'il avait trouvé. Surtout que cela semblait marcher. Elle ne cesse de s'énerver pour un rien! Cette femme était une vraie dingue... Elle faisait n'importe quoi. La rouquine finit par s'étaler sur la moquette mais Charlie ne rit pas, il pousse juste un soupir.

Quand Anne lui demande pourquoi il n'obéit, Charlie ne peut s'empêcher de froncer les sourcils. Il n'avait pas à lui obéir, elle n'avait aucun droit sur lui. Ils avaient juste baiser après tout! Rien de plus. Cette femme était une garce. Quand le journaliste se met à rire de nouveau face à Anne qui continuer de faire n'importe quoi, et qu'il continue de la chercher en lui disant qu'elle était sexy, celle ci vient serrer ses joues entre ses mains. Charlie finit par la bousculer brutalement quand elle a finit son discours.

« Lâche moi 'spèce de garce. »

Souffle t il en la regardant.

« T'sais quoi? J'vais l'ouvrir ta putain d'porte. »

Dit il avant de se mettre en face de la porte et de prendre sa respiration.
Si il restait une seconde de plus avec elle dans cette chambre, il allait lui passer la tête sous l'eau froide si ça n'était pas par la fenêtre (a)

par Anne Douglas Mar 5 Jan - 2:27

« Je te l’ai dis, faut pas me chercher. »

Lance-t-elle en le regardant d’un air méprisant. Avec Anne ce n’est pas bien compliqué : on se comporte bien avec elle, elle sera douce, une vraie fleur. Mais il suffit d’un rien pour qu’elle parte au quart de tour, et si on la pousse à bout elle serait capable de vous pourrir la vie. Ce n’est pas une garce… Enfin ça dépend avec qui.

Voilà que monsieur voulait essayait de jouer avec sa force, et d’ouvrir la porte par lui-même. Il aurait put y penser plus tôt, Einstein. Anne s’écarte, se jette sur le lit pour le regarder faire. Elle avait hâte de voir la scène. Parce que s’il comptait défoncer la porte, il allait se faire vraiment mal au bras. C’est une porte blindée, il ne pouvait absolument rien faire. Tout ça manque un peu de pop corn, mais peu importe, elle compte bien savourer l’instant. Elle espère que ce soit assez douloureux, elle en a un sourire béat, la sotte.

« Oh yeah. Ouvres-moi cette porte. Si tes coups de poings sont aussi forts que tes coups de reins je pense que je vais adorer ça. »

Pas très classe comme réplique, mais c'est toujours aussi agréable de toucher à l'égo d'un homme. Charlie l'avait trouvé. Quelle garce, cette fille.

par **Charlie Thompson** Mar 5 Jan - 14:00

Cette fille était vraiment la pire des pires des garces! La reine des garces! (a) Les regards qu'elle lui lançait, alors qu'elle avait voulu coucher avec lui pour un interview. La jolie fleur avait très bien su cacher ses épines~ Charlie n'en revenait pas qu'autant de colère puisse se dégager de ce minuscule et adorable corps. Puis, soudainement... Il se dit qu'il a peut être compris.

Bien qu'il veuille essayer de bousiller la porte, cela ne l'empêche pas de pouvoir parler en même temps. Parce qu'elle était quand même insupportable et il voulait trouver les bons mots. Mais quand elle lui sort sa « vanne », Charlie sourit de nouveau avant de répliquer.

« Fais gaffe de ne pas avoir un orgasme alors~ »

Dit il avant de la regarder et d'abandonner la porte, qu'il n'avait même pas encore essayer d'enfoncer, pour fixer Anne et voir si oui ou non, il avait toucher juste.

« Il s'appelle comment?... »

Sentant la question arriver, il préfère immédiatement préciser sa question.

« Le gars qui t'a brisé le cœur, c'est quoi son nom? »

par Anne Douglas Mar 5 Jan - 22:30

« Je sais très bien simuler. Je pensais que tu l'avais remarquer. »

Répond-elle du tac au tac. Avec un petit sourire, bien entendu. Elle ne lui laisse pas avoir le dernier mot. Surtout que c’est si facile avec Charlie, il lui inspire très peu de sympathie. Il a voulu faire le fier, maintenant il doit assumer. Qu’il la casse cette porte, mais il se fera plus de mal qu’autre chose. En tout cas, ce n’est pas Anne qui allait lui arrêter dans son élan.

« Qui ça ? »

Demande-t-elle, d’un air songeur alors qu’il lui demande comment il s’appelle. Ça ne fait même pas une heure qu’ils sont coincés dans cette chambre, qu’il devient déjà fou. Mais son sourire s’efface bien vite, il lui demande le nom de celui qui lui avait brisé le cœur. Touché. Anne arque un sourcil, a un rire jaune. Il ne manque pas de culot, lui, pour infirmer de telles choses.

« Personne brise mon cœur. »

Ment-elle en essayant en vain de ne pas penser à Ian. Pour qui se prenait-il cet irlandais? Ce n’est parce qu’elle avait couché avec lui, qu’il devait croire tout connaître d’elle. Petite fille qui croyait aux promesses du ciel et des étoiles, elle s’est bien fais baisée. Autant se venger sur quelqu’un, et malheureusement cela tombe sur Charlie. Quoi que.. Avec lui le jeu est assez drôle. Il tient bien le coup, coriace le journaliste.

« Contente-toi d’ouvrir cette putain de porte, Roméo. »

Allongée sur le ventre, mains sur le menton, elle attend que le spectacle commence.

par **Charlie Thompson** Mer 6 Jan - 0:31

« Comme toutes les putes qui se respectent, je suppose... »

Souffle Charlie pour lui même, suite à la remarque d'Anne. Il ne savait pas si elle avait entendu, et de toute façon, il n'en avait vraiment rien à foutre. Cette femme était vraiment chiante. Elle ne méritait pas le moindre respect de personne sauf si on voulait la mettre dans son lit. Et ça, il l'avait déjà fait. Alors, il n'avait rien à lui dire de plus...

Alors, il pense qu'il a réussi à la coincer. A la toucher, mais cette fois ci, pas physiquement (a), mais au plus profond d'elle même. Il voit son sourire s'effacer avec une vitesse hallucinante. Et même si elle dit le contraire, il sait qu'il a vu juste. Voilà donc pourquoi elle déteste les hommes. Elle avait eu affaire avec un qui n'avait pas été très tendre avec elle. Il avait fait d'elle une garce ma parole! Oo

« Personne hein?...
Pourtant, j'entends un prénom qui frappe dans ta tête et qui t'as viré ton sourire de princesse.
Tu l'aimais tant que ça? »

Dit il en retournant vers la porte, après qu'elle lui ai demandé d'ouvrir cette porte. Il décide de foutre quelques coups de pieds dans la porte, pas bien violent. Juste histoire de se préparer et de pouvoir entendre la réponse de Anne en même temps. Si elle comptait lui répondre bien sur.

« Et lui il t'a trahi c'est ça? »

par Anne Douglas Mer 6 Jan - 1:28

Quel coup bas, l’insulter de pute. Vraiment, un pauvre type, il se rabaisse à son niveau. Et puis quoi encore ? Il a couché avec elle et monsieur devait se plaindre et l’insulter par-dessus tout. En y réfléchissant, de la part d’un irlandais ça ne l’étonne même pas. Elle baisse alors sa tête et fait mine de tousser sans prêter un regard vers Charlie.

« Hum hum ! Connard. »

C’est pitoyable mais ça la fais sourire, intérieurement. Face à lui, elle se montre totalement indifférente. Ne pas lui dévoiler ce qu’elle ressent à part si c’est pour l’énerver. Anne sort une autre cigarette de son sac à main, l’allume et se calme. Elle sent que cette discussion ne pas être agréable, il l’agace déjà. Fucking accent. Irlandais à la con, qui croit tout connaître d’elle. Son passé ne la regarde qu’elle, et si elle est devenue aussi arrogante elle était bien la seule coupable. Jusqu’au bout, elle assume son putain de caractère. Le passé, c’est le passé. Il y a un moment donné faut savoir tourner la page, ou du moins faire comme si elle était déjà tournée.

« Tu veux pas sortir les violons non plus ? Qu’est-ce que ça peut t’faire, à toi ? »

Réplique-t-elle avant d’expirer un nuage de fumée. En somme, qu’il se mêle de ses affaires et pas des siennes. Et puis c’est vrai, qu’est-ce que ça pouvait bien lui faire ? Anne s’en doute bien, il voulait simplement atteindre son point faible. Dommage pour lui, elle n’y paraîtra rien. Elle s’allonge finalement sur le dos, les yeux rivés vers le plafond.

« Holy shit. Tu poses trop de questions. Eclates-toi plutôt sur la porte. Arrêtes ta psychanalyse à la con. »

par **Charlie Thompson** Mer 6 Jan - 2:42

Comme si Charlie n'allait pas entendre sa fausse toux de « connard » qu'elle venait de faire. Elle lui faisait pitié c'te fille (a). Elle servait à rien xD Il avait tirer son coup, il ne comptait pas la revoir. A quoi bon? Elle n'était bonne qu'à l'engueuler et lui balancer des coups de pieds et des phrases de langues de putes... Quelle garce c'te fille vraiment! Et ça la fait marrer ce genre de vanne débile. Il ne lui fallait pas grand chose (a) Mais Charlie n'était pas mieux, alors il ne répond rien.

Même si Charlie était sur et certain qu'il avait vu juste, la jeune femme fait comme si de rien n'était. Mais il savait qu'elle était menteuse. Il savait aussi qu'il avait raison. Surtout qu'elle sort une autre clope! Nervosité? (a)

« T'as raison, j'en ai rien à foutre x) »

Lui répond il en souriant avant de mettre des coups de pieds plus fort dans la porte alors qu'elle recommençait à jurer! Que s'était laid ça x) Dans la bouche d'une dame, franchement! Elle le regarde là, affalée sur le lit comme une reine et ne cesse de lui sortir des remarques qu'elle croyait blessantes. Mais Charlie s'en foutait de ce que Anne avait à lui dire.

Ne lui répondant pas, il décide de se concentrer plus spécialement sur la porte et tape dessus plusieurs fois dans l'espoir de la voir s'ouvrir en espérant qu'Anne, elle, n'allait pas l'ouvrir à nouveau!

par Anne Douglas Jeu 7 Jan - 1:13

Rictus d’antipathie, ils n’avaient pas finit de se lancer des pics. Rien d'étonnant, l'irlandais et l'anglaise ne font pas bon mélange. Anne se voit bien comme un doux alcool à la couleur rubis, aux saveurs épicés. Quant à Charlie il était le jus de pomme qu'on avait laissé trop longtemps au frigo. Quand on le boit il est froid, glacial au palais. La moindre de ses remarques, Anne se braque. Ce manège pourrait continuer des heures ainsi... La jeune femme s’étend sur l’immense lit, jette un regard misérable vers Charlie. Sous sa fumée opaque, elle le scrute de la tête au pied.

« Pauvre con, alors arrêtes de me poser des questions. De toute façon, que tu le veuilles ou non, toi et moi ça n’ira pas plus loin, quoique… »

Elle eut un sourire niais, un petit rire de peste. Peut-être qu’elle pourrait s’en faire un sex-ennemy. Assez curieux comme relation, mais apparemment c’était le seul plan sur lequel ils arrivaient à s’entendre jusqu’à présent. Dès l’instant qu’elle sortira de cette chambre d’hôtel, Anne compte bien revoir Charlie. Histoire de lui pourrir une journée au deux. Par ailleurs, elle a beau le détester et l’insulter de tous les noms, elle le trouve vraiment mignon. En même temps c’est aussi l’une des raisons pour lesquelles elle a couché avec. Femme ou non, les désirs ne se contrôlent pas sur demande.

« Charlie ? »

Apelle t’elle de sa voix la plus mielleuse. Pour qu’elle le fasse, ça cache quelque chose bien sûr. Il est vrai qu’elle sait qu’à chaque fois qu’elle ouvre sa bouche, l’irlandais désespère. Il n’allait tout de même pas croire qu’elle allait la fermer pour ses beaux yeux, n’est-ce pas ?

« Je te parie vingt billets que tu n’arriveras pas ouvrir la porte. »

par **Charlie Thompson** Ven 8 Jan - 21:48

Quand la remarque de la rouquine parvient aux oreilles de Charlie, il se met à lâcher un léger rire. Il se disait que finalement, elle n'avait pas simulé comme elle se bornait à le lui faire croire. Comme tout les hommes, il se disait que si elle avait simulé, il l'aurait su! Bien évidemment (a) Et qu'elle lui dise que tout les deux ça n'irait pas plus loin que ça, à moins que... Le rire qu'il lâche est incontrôlable. Garce jusqu'au bout celle là.

Mais bon! Les plus pestes sont souvent les meilleures! Si ça n'est pas tout le temps d'ailleurs. Il avait prit son pied avec elle, et il espérait bien pouvoir recommencer. Même si il allait devoir la faire boire pour ça (a) Quoi que, si elle avance qu'ils se reverront, peut être même qu'il en aura même pas besoin. Tant qu'elle n'ouvrait pas la bouche, si ça n'était pour hurler son nom, il s'en foutait bien de pouvoir l'avoir dans son lit à nouveau!

Lorsque Anne prononce son nom avec cette voix mielleuse, il se sent frissonner de dégout. Il n'aimait pas entendre ce ton là sur son prénom brrrr ><''

« Et bein moi, je te paris une autre nuit avec toi que je peux! »

Dit il avec un sourire, très sur de lui~

par Anne Douglas Sam 9 Jan - 3:16

L’affaire devient très intéressante, Charlie rentre dans le jeu. Les serruriers n’allaient pas tarder à arriver, et il était presque impossible qu’il puisse arriver à ouvrir sa porte sans outils. Le pari est gagné d’avance. Elle s’en frotte les doigts et profite pour se lever du lit. Face à lui, elle prend un air supérieur.

« Okay. V I N G T , putains, de billets. Contre U N E , nuit. »

Approuve-t-elle aussitôt, d’un sourire rayonnant. Anne n’est pas une femme sensible, elle n’a pas peur de prendre des risques. Au fait, elle mise tout sur l’instinct. Ce pari est un jeu vraiment excitant, car quoiqu’il arrive, elle ne sera pas déçue. Si Charlie perd son pari, il en prendra un sacré coup à sa fierté. Si c’est lui qui gagne, elle gagnera une autre nuit torride. La garce, tout était calculé. En même temps elle n’aurait pas lancé le défi autrement.

D’ailleurs pour le provoquer un peu, Anne met sa main dans son soutien gorge et y sort… un préservatif. Elle le montre, s’avance près de lui et le range dans le pantalon du jeune homme. Oui, dans son pantalon, en plein dans son entrejambe ! Elle ne peut retenir de rire, franchement. Reculant d’un pas, elle retourne sur le lit.

« Alors pari retenu ? Ou tu te dégonfles ? »

par **Charlie Thompson** Sam 9 Jan - 20:49

« Deux nuits, si j'y arrive sans me faire mal! (a) »

Ajoute Charlie en la voyant se lever du lit.
Il était vraiment sur de lui le jeune homme (a). Il savait ce qu'il faisait c'est tout et il était certain de pouvoir ouvrir cette porte avant que le serrurier de madame n'arrive. Il voulait ces deux autres nuits, juste pour profiter d'une partie de jambe en l'air. Anglaise ou pas, chieuse ou pas, elle restait une femme, avec une poitrine et de quoi lui faire plaisir (a)

Quand il la voit s'approcher d'avantage, il n'esquisse pas un pas de recul. Il se contente de la regarder faire, se demandant ce qu'elle lui voulait encore. Il avait un peu peur xD Mais a quoi bon le lui montrer hein? x) Il la regarde sortir un préservatif de son soutien gorge, se demandant quand elle l'avait fourré là xD, et il laisse échapper un soupir quand elle fourre le préservatif dans son pantalon. Elle était folle à lier mais elle n'arrêtait pas de l'allumer tout en lui parlant comme à une merde xD

« J'me dégonfle pas »

Souffle t il avant de prendre son téléphone portable et de discuter avec la personne à l'autre bout du fil.

« Hey salut beauté x) J'ai appris que tu étais de service ce soir?
Ouais. Tu pourrais venir ouvrir la chambre... Ah, t'en a entendu parler?! Ok.
A tout de suite alors ma belle (a) »

Puis, raccrochant, il regarde Anne avec un sourire.

« Dans deux minutes, tu seras dehors ma belle Anne. »

Dit il, appuyant sur son prénom avec son accent Irlandais.

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