Calypso W. Rosenfeld [Fiche validée]

par Calypso W. Rosenfeld Sam 20 Fév - 22:43

« Calypso, Wilson ROSENFELD. »

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(c) Cristal.

A savoir :

Nationalité : Anglaise ( de base ).
Âge : 23 ans.
Groupe d’appartenance : Musiciens. Calypso a une jolie voix et la chanson est un milieu qui l'intéresse. Cependant, elle ne dirai pas non à une proposition pour un film. Le milieu du cinéma l'intéresse également énormément.

Célébrité sur l’avatar : Lily Allen ( qui ne l'a pas reconnu ??? ).
Comment avez-vous connu le forum ??? De YC.
A quelle fréquence pensez-vous pouvoir venir sur le forum ??? Tous les jours, le soir.
Double compte : Non.

Votre personnage :

Traits de caractère :
Il y a tellement de choses concernant Calypso que tout dire en 15 lignes serait impossible, mais si l'on se mettait à essayer de décrire son caractère en entier on finirait par se perdre. Tout d'abord, je crois qu'il est important de dire que Calypso est une jeune femme d'une générosité à la fois surprenante, à la fois simple. D'un côté, elle sera toujours prête à rendre service à ceux qu'elle aime, mais de l'autre, ce ne sera jamais de manière prétentieuse, elle le fera toujours discrètement et naturellement, comme si c'était tout à fait normal de rester au chevet de son père souffrant ou de sa sœur seule des semaines durantes, jour et nuit, à veiller sur l'autre. Autre chose importante, Calypso est assez lunatique. Elle l'est même énormément. L'adulte peut se montrer parfaitement indépendante, et c'est d'ailleurs sans doute paradoxalement pour cela qu'elle est aussi généreuse, mais peut aussi ressentir de temps en temps l'envie d'être accompagnée, par quelqu'un d'autre qu'un membre de sa famille - une amie, ou une petite amie. Elle se retrouve donc souvent à se poser des questions, à ne plus savoir où aller, et est également sujette aux dépressions et aux troubles du comportement - bien que ces derniers soient la plupart du temps superficiels. Pour changer de sujet, parlons de son talent ; aux yeux de tous, Calypso est une femme débordante d'originalité, d'idées, et a une âme d'artiste. Depuis toute petite, Calypso aime dessiner, raconter, jouer la vie, la chanter. Elle sait aussi l'apprécier, la comprendre, se questionnant aussi à son sujet de temps en temps. Passionnée par l'art, la mode, le cinéma, la musique, la danse … Les gens la jalousent, parfois, la trouvent provocante, ne l'aiment pas. La méprisent. C'est une des raisons pour laquelle Calypso a eut une enfance difficile, avant de reprendre le dessus et de se plaire dans la vie qu'elle avait. Aujourd'hui, il en a toujours qui la regardent d'un mauvais œil, mais la jeune femme ignore, va de l'avant, et sourit … ( Comme dans la chanson. )

Loisirs du personnage :
Ce que Calypso préfère, bien sûr, c'est écouter de la musique. Elle aime découvrir des choses, en redécouvrir d'autres ... Ensuite, elle passe beaucoup de soirées à regarder des films. Toute seule, la plupart du temps. Et enfin, elle est aussi une adepte de la monte à cheval. Petite, elle était assez doutée. Faute d'argent, elle arrêta. Mais aujourd'hui, il lui arrive encore de pratiquer un peu.

Sa famille :
Calypso a une famille un peu compliquée. Son parrain est le chanteur des Clash ( c'est vrai IRL, ça peut être vrai ici aussi ), mais Calypso n'a pas eu le temps de le connaître. Il paraîtrait qu'il l'aimait beaucoup lorsqu'elle était petite, et qu'elle n'ai pas beaucoup changé. Sa mère est réalisatrice peu connue. Son père est acteur. Après le divorce de ses parents, Calypso a vécu dans une cité Londonienne ( c'est la classe quand même ... ) pendant dix ans. Sa mère l'emmenait souvent sur des tournages, Calypso a même joué dans un film lorsqu'elle avait 13 ans. La jeune adulte s'entend encore aujourd'hui très bien avec sa mère, elles s'appellent régulièrement. Avec son père, c'est plus compliqué. Ils avaient rompu le contact lors de son divorce, mais se sont contactés de nouveau quelques années après. Depuis, Calypso passe des week ends que lui. Calypso a également un jeune frère d'une vingtaine d'années et une demie-sœur toute petite.

Sa vie professionnelle :
Calypso ne travaille pas vraiment. Elle écrit la nuit, dors le matin, travaille dans un bar le soir, bulle l'après midi. Être gogo danseuse ne la passionne pas, mais elle trouve que c'est une expérience intéressante. Alors elle essaye de s'y faire - en plus, ça gagne pas mal. Mais lorsqu'elle écrit une bonne chanson, qu'elle passe du temps à travailler dessus, il lui arrive de publier des vidéos sur des sites pour faire un peu parler d'elle, même si ça ne marche pas très bien.

Son passé :
Mon passé ??? J'ai eus un passé simple, banal, presque vide de sens. J'ai fais beaucoup d'erreurs dans ma vie, j'ai sans doute eus beaucoup de choix, je n'ai pas forcément toujours pris les bonnes décisions et je m'en suis toujours repentie. D'abord, je suis née. Ce fut une première erreur. Il était aux environs de minuit quand j'ai soudain souhaité montrer le bout de mon nez, ce qui fut un soulagement chez mes parents qui craignaient que je sois plus embêtante, comme si j'allais naitre à quatre heures du matin, comme ça. Comme si il y avait une véritablement raison pour que, par hasard, je naissent juste après que mes parents soient partis se coucher, juste avant qu'ils ne se lèvent. La suite fut plus simple, si on considère que naître engendre tout dans une vie, des pires erreurs aux choix les plus réfléchis. Nettement plus simple. D'ailleurs, je ne me rappelle pas de grand chose et, selon moi, cela constitue une preuve suffisante à la simplicité de mon éducation. Je n'étais pas bien méchante. Je ne faisais pas de bêtises, ramenais de bonnes notes, ne fréquentais que des filles issues d'un milieu bourgeois semblable au mien. Me faisais des amis, avec un joli sourire de petite fille, des yeux bruns et brillants, des parents qui m'aimaient. Des parents qui auraient en apparence tout fait pour moi, tout fait pour que je sois la plus forte. Cette période fut pour moi relativement agréable. Toute mon adolescence ne fut qu'un long fleuve tranquille ; je ne touchai à aucune drogue, ne bu pas d'alcool, ne fuguai pas. J'étais un modèle de perfection aux yeux de mes parents qui furent soulagés lorsque que j'atteins la quinzaine sans encombres - merci pour eux. Jusqu'à ce que je rencontre Jay, au détour d'un chemin. Nous nous sommes rencontrés dans la rue. Non, il ne m'a pas bousculé, n'a pas fait tombé mon sac, n'a pas bafouillé bêtement, ne s'est pas excusé, n'a pas ramassé mes affaires, ne m'a pas sourit. Enfin, si, il m'a sourit. Mais juste ça. Nous avons parlé, liés par une passion commune. Liés par la musique merveilleuse de cette soirée de juin que je n'oublierai jamais plus. Cette nuit là, nous avons parlé, longtemps. Et beaucoup. Nous avons dansé, aussi. Et puis, il m'a ramené dans son hotel. Jay. Ah, Jay, je l'aimais, je n'en doutais pas. Et il m'aimait, à priori. Nous nous aimions, j'y croyais. C'était merveilleux. Jay, il jouait de la guitare comme un dieu, me rédigeait des poèmes fantastiques, était capable de réparer mon scooter à une heure du matin, de m'embrasser dans un champ de blé, de me faire l'amour dans la forêt. Je ne crois pas avoir eut relations plus folles qu'avec lui. Pendant des mois, Jay a tout été pour moi, représentait tout à mes yeux, pour lui j'ai arrêté le lycée, et aujourd'hui je lui doit beaucoup. Énormément. Puis un jour, il est parti, j'étais tellement triste, je racontais que c'était injuste, que les contes de fées ne finissaient pas comme ça, que ma vie s'écroulait. Et je n'avais pas totalement tort. Un an. Deux ans. Trois ans seule. Toute seule. Terriblement seule. Trois longues années passées à, chaque jour, faire le même trajet, prendre le même métro, fréquenter les mêmes bars. Trois années passées à tout essayer, à fumer, à me droguer, à boire presque à en mourir, à boire à ne plus me rappeler de semaines entières. Trois ans terriblement longs et difficiles passés à, chaque soir, recommencer les mêmes gestes, devant les mêmes garçons, tous assoiffés d'alcool, de sexe, gaspillant leur argent chaque soir pour avoir une danse avec celle qui ne serait même pas la plus belle, mais juste la plus ouverte. Tous les soirs, arriver en petite tenue de dentelle, été comme hiver, chaque soir danser autour d'une barre en fer, la chevaucher, la caresser, en arriver à faire des choses que je n'oserais même pas répéter. Tous ces garçons qui me prenaient dans leurs bras en me répétant qu'ils m'aimaient, que j'étais belle, alors que je savais que ce n'était pas vrai, qu'ils ne le pensaient pas, qu'ils voulaient juste que ce soit plus intense. Toutes ces ordures venues ici par manque d'amour, tombées dans mes bras. Tous ces hommes dont j'ai dut m'occuper, dont je n'ai fait que relever le temps d'une relation dans les toilettes publiques. Toutes ces soit disant bonnes actions qui me tuaient à petit feu. S'en était devenu pathétique. Mais un jour, j'ai reçu un coup de téléphone. Celui d'une amie, que je n'avais pas vu depuis très longtemps. Depuis 6 ans. Depuis que Jay et moi avions emprunté le même chemin. Mais je tenais énormément à elle, je l'avais juste perdue de vue, ce n'était rien, je devais la revoir, je ne pouvais pas me passer de sa présence quand j'étais gamine, alors j'ai décidé de faire de même aujourd'hui. Et je l'ai revue. Irrémédiablement. On s'était données rendez vous dans un bar, à Londres, j'étais venue à l'heure, même en avance, de toute manière je n'avais rien d'autre à faire. Mais elle me connaissait trop bien, en principe je serais venue à l'heure indiquée. Voire en retard, car je n'aimais pas m'afficher, car je n'aimais pas afficher mon attachement. Mais j'avais changé, et elle s'y fit. Peu à peu. Peu à peu que la conversation avançait, que les heures passaient, que les gens défilaient. Et que nous, nous étions là. Je lui racontais les choses que j'écrivais, mon ambition à devenir chanteuse, mes nombreuses lettres envoyées à des boites, toutes ces chansons perdues, oubliées, toutes ces réponses inexistantes, tout ce vide autour de moi. Nous redevenions inséparables, "comme avant" m'avait-elle dit juste avant de regarder sa montre. Mais je savais bien que l'heure ne l'importait peu, qu'elle devait juste partir parce-que c'était comme ça, c'est tout, alors elle se leva, s'excusa, et je lui sourit. C'était mon premier sourire depuis 3 ans, et c'était à elle que je décidais de le dédier. Et puis, je me levai. Et je la prit dans mes bras. Nous sommes restées ainsi plusieurs minutes, profitant de l'émotion de cet instant, car nous savions que nous ne nous reverrions pas. Car j'avais reçu ce courrier qui m'invitait à Londres, car on m'avait promis un job bien payé, correct, et que j'y croyais, naïvement, car c'était la seule chose à laquelle je pouvais à présenter m'accrocher, enfin. Car mon rêve était en train de se réaliser. Car elle avait énormément de travail dans son entreprise de mode. Et pour pleins d'autres raisons aussi. Et nous nous sommes quittées. Les premiers mots qui me revinrent à l'esprit lorsque nous nous sommes séparées furent "comme avant". Car oui, nous étions toujours les mêmes. Mais non, ce n'était pas comme avant. Ce ne le serait plus jamais désormais. Mais ça n'empêchait qu'en tournant au coin de la rue, je ne pus m'empêcher de verser une larme. Car au tournant de la rue, je me rappelai que demain, je partais pour Sydney. Car ce tournant de rue, c'était exactement celui où j'avais rencontré ma meilleure amie, et que je ne la reverrai probablement jamais. Demain, je devrais partir en Australia, je n'avais pas le choix, j'avais trouvé une université qui voulait bien de moi malgré mon passé d'étudiante peu studieuse et je devait faire attention à mon image. Je devais réaliser mes rêves et apprendre à parler anglais, je devais le faire pour Anna.

Ses traits physiques :
Calypso est belle. Ça se voit, non ??? Elle a beaucoup de charme, comme si ses gestes étaient réfléchis et établis. Elle a cette mine boudeuse craquante et ce côté insolent. On aime, ou on n'aime pas, à voir. Elle aimait beaucoup ses cheveux longs, mais a décidé de les couper pour voir ce que ça donnait. Ceci l'a fait mûrir physiquement. Elle n'a plus cette air enfantin qu'elle avait avant, même si ses yeux nous rappellent qu'elle n'a pas changé. Calypso n'est pas très grande, elle mesure moins de un mètre soixante. Elle a quelques kilos en trop, ne supportant pas le sport. Elle a alors de jolis formes, mais pas de seins ( lol ). ( Désolée, je suis vraiment nuuuuulle en description ) ... ( Enfin encore pire quoi ).