Valère Laediss [Fiche validée]

par Valère Laediss Mer 21 Avr - 23:47

« Valère Laediss »

@ Rokku

A savoir :

Nationalités : Suédois et australien.
Âge : 24 ans.
Groupe d’appartenance : Littéraires.

Célébrité sur l’avatar : Jamie Dornan. (a)
Comment avez-vous connu le forum ? C'est une longue histoire...
A quelle fréquence pensez-vous pouvoir venir sur le forum ? Cinq jours sur sept, enfin, tout dépend des cours et de la madre...
Double compte : Nope.

Votre personnage :

Traits de caractère :

Valère est une ambivalence à lui tout seul. Il n’écrivait pas beaucoup, quand il était un rebelle débile. Il ne jouait plus, ne dessinait plus ; il fumait des cigarettes, des joints, des cigares, buvait comme un trou et fuguait régulièrement. Heureusement, il a mûri et a gagné en expérience. Il s’est endurci ; il était toujours le premier à se bagarrer. Avec l'âge, Valère s'est plus ou moins assagi. Mais il possède toujours autant de facettes ; tantôt joueur, tantôt provocant, tantôt pensif, tantôt rêveur... Il peut endosser n'importe quel rôle, à condition que cela lui ressemble un minimum. Son comportement dépend exclusivement de son humeur et de la personne qui le côtoie. Si c'est une jolie fille, il n'aura pas de mal à être d'humeur charmeuse. Si c'est une personne renfermée, il sera forcément intrigué et curieux. Si c'est un garçon arrogant, il veillera à calmer ses pulsions bagarreuses.
Valère est sensible mais n'aime pas le montrer. Il préfère être agressif que pleurnichard. Il a une personnalité changeante, qui pourrait être classée dans le mot "lunatique" et interpréter comme de la schizophrénie - mais que nenni. Valère reste principalement quelqu'un dans sa bulle. Il peut être avenant, si vous êtes un modèle idéal pour ses croquis ou si vous lui inspirez une mélodie. Si vous ressemblez à un mouton, par contre, il y a de fortes chances pour qu'il ait peur... (c'est sa phobie, les moutons). Il n'aime pas trop parler de son passé ; il parle beaucoup de Jude ou de ses goûts. Carapace de tortue, garçon incongru ?

Loisirs du personnage :

L'écriture est sa première passion, dont il a fait son métier. Ensuite, il adore le piano, la batterie et le dessin. Il dessine souvent, des mains, des visages tristes, des situations intrigantes, des jolies filles ; il photographie de précieux souvenirs à sa façon, incapable de manipuler un appareil photo. Il aime aussi boire du café et sortir avec des amis. Pas très sportif, il exerce cependant le skate, et s'il n'est pas sur sa moto, il est sur cette planche à roulettes. Valère est un bon vivant à sa façon, et a parfois des crises de solitude qui l'encouragent à se faire des potes... Il a très peu d'amis, mais s'attache assez vite.

Sa famille :

La situation familiale de Valère est similaire à un puzzle martelé. Il y a des pièces déformées, et surtout, une pièce manquante. La famille n’est pas un sujet à aborder avec lui. Il a du mal à en parler, car c’est tellement compliqué que cela en devient blasant. Valère n’a jamais vraiment été un fils ; il a uniquement été un frère.
Juillet 1970. Erik est un jeune suédois, plein d’ambitions, riche héritier d’une compagnie aérienne. Il est stupide, boit trop de bières et part en France pendant deux semaines pour se changer les idées, comme ça, sur un coup de tête. Ce coup de tête lui vaudra les plus années de sa vie ; à Paris, il rencontre Holly. Australienne pure souche, elle est fanatique des français et ne souhaite qu’une chose : vivre ici. Elle adore tout ce qui touche à la culture française, en passant par la cuisine, les prénoms, les chansons… Erik tombe sous le charme de ce petit bout de femme, dotée d’un sacré caractère, possédant une beauté noire fascinante. Ils couchent ensemble, goûtant à une passion aussi galvanisante que dévastatrice pendant ces deux semaines. Erik repart, la conscience lourde et la tête pleine de souvenirs ; il a des hauts le cœur. Il fiche ses ambitions à la poubelle et ne pense plus qu’à elle. Il veut la revoir au plus vite. Malheureusement, leurs travails respectifs font qu’ils ne peuvent se voir qu’une ou deux fois par an. Une relation épistolaire s’établit alors, alternant entre les lettres et le virtuel, et le téléphone. Des heures passées à pleurer, écrire, attendre… Victimes de cette distance immense, ils finissent par se séparer. Ils vont tous deux voir ailleurs, pour essayer de retrouver ces mêmes envies, ces mêmes goûts… Erik se surprend à haïr les femmes pour leur fadeur ; Holly finit par rejeter tous les hommes qui s’approchent d’elle. Ils sont malheureusement trop amoureux et accrochés pour s’oublier. Ils retentent l’expérience, et restent ensemble pour de bon. Leurs disputes sont plus violentes, mais leurs retrouvailles gardent cet aspect virulent et séduisant. L’amour est toujours là, l’appétit sexuel aussi. Ils parviennent à l’apogée de leur relation.
Mars 1980. Après dix ans d’attente, Holly finit par venir habiter avec Erik à Stockholm. Durant deux années, ils vécurent quelque chose de stable. Ils travaillaient, se retrouvaient, partageaient davantage de choses encore et rattrapaient le temps perdu. Et du temps perdu, il y en avait… Deux ans plus tard, Holly donna naissance à Jude, un garçon bruyant et adorable. Maternité et paternité les aidèrent à ne pas se lasser l’un de l’autre. Ils décidèrent de retenter l’expérience trois ans plus tard : vint au monde Bérénice. La petite fille à son papa, qui pleura longtemps à la venue de ce petit être aux cheveux blonds et aux yeux bleus, tout comme son père. Ils n’attendirent qu’un an pour recommencer. Ils avaient désormais envie de bébés, plein de bébés, autant de bébés qu’ils pouvaient. Erik et Holly se croyaient invincibles et suffisamment forts pour s’occuper d’autant d’enfants. Holly devint femme au foyer, tandis qu’Erik réduisait ses heures de travail pour être présent. Alors Valère vint au monde. Joufflu, plus discret, et très gourmand. L’enfance de ces trois bambins se passa sans embrouille. Ils ne manquaient de rien, se chamaillaient pour n’importe quoi, enviaient le grand frère, Jude, qui les prenait toujours sous son immense aile. Il était bien, Jude. C’était le plus proche de Valère, à cette époque, et même plus tard. Ils étaient inséparables. Les deux garçons ensemble, et Bérénice, pauvre victime de leurs bêtises.
June s’ajouta à la famille Laediss. Timide, renfermée, secrète. Elle transmit l’envie à Valère de dessiner, tandis que Bérénice lui fit partager son goût pour le piano. Etre une famille nombreuse avait ses avantages : chaque enfant apprenait à l’autre ce qu’il ne savait pas. Ils s’entraidaient, et le couple s’émerveillait devant leur magnifique progéniture. Ils ne se stoppèrent pas en si bon chemin : ils terminèrent par Iphigénie, la plus loquace et agitée. Hyperactive. Boute-en-train. Elle amusait toujours la galerie.
La famille Laediss était ainsi constituée de Jude, Bérénice, Valère, June, Iphigénie. Ce fut Holly qui désigna leurs prénoms. Des références françaises obligatoires, ainsi que des nuances australiennes/américaines. Erik n’avait pas son mot à dire : il s’occupait des vêtements de ses gosses.
Seulement, s’ils ont été ainsi martelés, c’est qu’en 1999, Erik et Holly décidèrent de se séparer définitivement. Cette fois, ils ne sont pas revenus ensemble, et Holly est partie en Australie, après l’obtention de la garde de Jude et June. Erik est devenu dépressif. Il ne s’est plus occupé de ses enfants ; Valère s’est senti déboussolé par l’absence de son frère et sa sœur, ceux dont il était le plus proche. Il continua de jouer au piano, de dessiner, mais ne parlait pas beaucoup. Son père lui faisait peur, avec toutes les bouteilles vides qui traînaient par terre.
En 2004, Erik tomba amoureux d’Anya, une russe venue s’installer en Suède. Ils ne mirent qu’un an avant d’habiter ensemble ; la famille s’agrandit alors : Lev et Konstantin, les deux filles d’Anya, fruits d’un ancien mariage, allaient s’installer avec eux. Valère ne tissa aucun lien avec eux et se renferma encore plus.
A ses dix-huit ans, Valère apprit que son frère était décédé dans un accident de voiture. Il décida de déménager en Australie dans l’immédiat. Il n’en parla pas à son père ; il se disait que cela ne pouvait pas être pire qu’avec lui. Il rejoignit sa mère pour la soutenir. Le décès de son frère reste le plus grand drame dans sa vie. Heureusement, il lui reste June.

Sa vie professionnelle :

Valère ne possède pas de carrière digne de ce nom, au niveau scolaire. Cancre constamment absent, il n'était bon qu'en Littérature, et s'il y mettait du sien. Autrement, il possédait de véritables capacités en Langues, mais ne s'est pas du tout investi, ayant foutu sa scolarité en l'air lors de son adolescence. Quand il est venu à Sydney, il a fait l'effort d'aller à l'Université mais n'est pas resté longtemps non plus... Il a commencé à écrire un livre. Grâce à un ami dans l'édition, il a réussi à faire parvenir son manuscrit jusqu'aux mains poilues d'une personne assez importante pour le faire connaitre. Son livre a intéressé les mains poilues, mais tout a tardé et traîné... Finalement, au bout de deux ans et demi, après une année et trois mois de réécriture, la personne a lancé une publicité pour son roman, histoire d'assurer son succès ou du moins, sa venue dans le monde littéraire. Valère n'a pas beaucoup dormi durant ces semaines-là. La critique se jetait sur ce nouveau-né, semblait réceptif à son univers, malgré quelques détracteurs moins aimables... Valère est ainsi devenu un écrivain à la notoriété modeste, avec une réputation respectée. Il ne se considère cependant pas comme tel, et a finalement été embauché en tant que journaliste dans un grand magasine australien, pour gagner un peu d'argent et envisager l'idée de s'acheter un propre appartement...

Son passé :

Valère est né en Septembre 1985. Il a grandi, entouré de son frère Jude, ses soeurs Bérénice, June et Iphigénie. Il n’était pas bon à l’école ; il détestait cela. Il voulait uniquement apprendre du piano et dessiner. Valère a développé un sens artistique et une sensibilité gênante très vite. Il a apprit à reconnaître les choses les plus belles et les a dessiné dans son calepin. Il s’est aussi appliqué dans les mélodies et a ainsi entraîné son ouïe, se perfectionnant dans la musique sans pour autant avoir des ambitions de rock star. Il restait raisonnable. Son goût pour l’écriture ne s’éveilla qu’à ses seize ans, lors du divorce de ses parents.
Valère devint un vrai sale gosse. Il séchait, fumait, buvait, imitait son père et tentait de se trouver une identité. Il ramait, entre les cours, les copines, son père et les emmerdes diverses. Connerie d’adolescence. Jude était parti, June aussi… Iphigénie s’en foutait et Bérénice se renfermait violemment. Avec du recul, il se dit qu’il aurait pu essayer de se rapprocher d’elles. Mais cela aurait été une souffrance de plus, quand serait venu le temps de partir pour l’Australie. Il avait toujours voulu rester avec sa mère qu’il pensait davantage stable.
Paumé entre l’enfance et la vie d’adulte, il a vécu une adolescence bohémienne. Sortir tard le soir, ne revenir qu’à l’aube, faire la misère à son père, se dégueulasser la santé : tels étaient ses objectifs. Il en voulait au paternel d’avoir brisé leur famille. Il le tenait pour fautif de toutes les merdes qui lui arrivaient. Valère garde un goût âcre et amer de cette période, même s’il a mûri et acquis une certaine expérience malgré tout. Il a eu beaucoup de mal à grandir. Il y aurait beaucoup de choses à dire sur cette sombre saison de la vie, mais cela serait trop long. Il a vécu sa première histoire. Elle l’a fait écrire. Ceci expliquant cela…
A dix-huit ans, Valère apprend le décès de son grand frère, Jude. Effondré, il se rend à Sydney, chez sa mère, sans attendre. Il ne prévient personne. Offre ses dernières cigarettes à Bérénice, lègue ses dessins à Iphigénie, qui était, étrangement, son modèle favori. Il disparait de la Suède et ne veut pas surmonter son chagrin. Jude est mort. Dans un bête accident de voiture ; il conduisait et était saoul. Le véhicule a dérapé… L’engin s’est déchaîné… Valère n’a jamais voulu en savoir davantage. Il renie désormais les quatre roues. Valère roule uniquement en moto. Pour panser ses blessures, il s’est occupé de Holly, a bu beaucoup de thé, de café et a écrit un livre « Le pianiste sourd ». Ce roman a été une vraie thérapie pour lui, et a été publié trois ans après avoir été écrite. Bien reçu par la critique, le bouquin bénéficia d’une renommée raisonnable. Valère a commencé à se faire connaitre dans le monde littéraire, et s’est fait respecté pour avoir écrit un tel recueil à son âge. De nombreux journalistes l’ont blâmé, mais Valère n’a prêté attention qu’aux remarques positives. C’est, pour l’instant, le seul livre qu’il a pu écrire.
Il vient à peine d’apprendre que sa mère était atteinte d’un cancer général. Depuis quelques années, il s’était éloigné d’elle. Elle l’avait plusieurs fois repoussé, jusqu’à que Valère craque et arrête de venir la voir. Il a coupé les liens avec tout le monde, sauf avec ses grands-parents et June. Quand il rend visite à Holly à l’hôpital, il en ressort automatiquement de mauvaise humeur et fume comme un pompier.
Valère habite à Sydney depuis 6 ans et s’y sent bien. Il écrit à Jude à chaque fois que ce dernier a anniversaire. Il aurait eu 28 ans cette année.

Ses traits physiques :

Valère est un homme svelte, élancé et musclé d'un mètre 70 environ, avec des grands yeux bleus/verts qui perturbent bon nombre de personnes. Il a les cheveux bruns, coupés courts, qu'il laisse pousser. Il a une carrure sportive et un corps bien sculpté. Il a des belles fesses aussi. (mais ça, on s'en fout) La seule chose qu'il déteste chez lui, à part tout, c'est son nez. Trop long, trop pointu, trop gênant. Il aime bien porter des barbes de trois jours, même si cela lui donne un air de truand. Niveau vestimentaire, Valère a un style banal : chemises, polos, pulls, jeans foncés ou déchirés, délavés et des Converses ; ou alors le costume de pingouin. Évidemment, tous ses fringues sont de marques. Il a une silhouette fine ; un certain charisme ; un regard qui ne laisse pas indifférent ; mais le plus important chez lui, ce sont ses mains.

Ses liens :

Valère possède, certes, des proches (comme sa petite soeur, June) et quelques amis, ainsi que des connaissances, des potes... Mais, euh, voilà. (c'est à développer plus tard !)

par **Genesia Weastler** Mer 21 Avr - 23:48

WILLIAAAAAAAAAAAAAAAM I love you

Hum pardon....

Bienvenue et bon fifichage!

par **Bex Grimes** Mer 21 Avr - 23:50

Bienvenue ! Bon courage pour ta fiche !

par **Maeghara Sullivan** Jeu 22 Avr - 11:44

Bienvenue !

( Valère, comme dans "Le jeu de l'amour et du hasard" ? x)
Edit : ah non pas dans cette pièce là xD
Crap je me souviens plus ou j'ai lu ce prénom euhm bref.. )